P&V Elektrotechniek élimine les retards dans ses projets

P&V Elektrotechniek, société belge d’ingénierie et d’assemblage, est amenée à traiter d’énormes quantités de données au cours de ses opérations de fabrication numérique. Chaque plan de fabrication implique de nombreuses interactions entre la base de données et le serveur de fichiers, source de multiples retards. Mais, grâce à la solution Huawei, ce n’est plus un problème.

Contexte

P&V Elektrotechniek est le plus important constructeur indépendant de tableaux électroniques en Belgique. La société propose des produits standard et personnalisés destinés à l’industrie, aux services publics, à des OEM, à des intégrateurs systèmes et à des installateurs. C’est ainsi que, récemment, P&V Elektrotechniek a fourni 4 500 tableaux de commutation à Infrabel, qui gère l’infrastructure des chemins de fer belges. Ces tableaux sont utilisés, entre autres, pour ETCS, le nouveau système européen de contrôle des trains. Parmi d’autres projets, l’on pourrait citer le nouveau centre européen de distribution de Nike à Laakdal (Belgique), qui coordonne la logistique entre quelque 200 usines et 200 000 adresses de livraison, ou encore la station antarctique Princesse-Élisabeth, station de recherche scientifique « zéro émission », où P&V Elektrotechniek s’est occupé de l’alimentation électrique des panneaux solaires et des éoliennes.

Le défi à relever

Le département R&D de P&V Elektrotechniek a renforcé l’automatisation et l’efficacité de ses processus de production dans son évolution vers « l’Industrie 4.0 ». Par exemple, des plans numériques permettent un feedback interactif, donnant à l’équipe d’ingénierie les moyens d'opérer une planification anticipée. La société a également construit un robot qui automatise le câblage des tableaux de commutation destinés à l’industrie. Le système d’ingénierie puise toutes ses informations dans le système ERP, lequel est intégré au catalogue des composants.

Auparavant, l’infrastructure informatique reposait sur un réseau 10/100 Mbit/s et sur un seul datacenter, non redondant. Le nombre élevé des interactions entre la base de données et le serveur de fichiers était cause de retards, pouvant aller jusqu’à 20 secondes pour l’inclusion de nouveaux composants dans le plan. Situation inacceptable, si l’on pense aux centaines de composants que contient habituellement un plan. La vitesse était devenue un problème.

Erik Diris, ICT Manager : « L’informatique joue un rôle majeur dans notre firme car nous nous sommes embarqués dans un alignement de notre activité sur l’informatique. Nous ne pouvons plus nous permettre de défaillances du système. Nous prévoyons également de gros investissements dans notre système ERP. En même temps, nous voulions bénéficier de la meilleure disponibilité possible ; c’est pourquoi nous avons décidé d’investir dans un nouveau datacenter et un nouveau réseau. »